Catégorie : VICTOR HUGO
Courage
N’oublie pas que dans la vie, rien ne vient sans action
Chaque jour au soleil levant, prépares–toi pour ta mission
Ne souhaite pas être ce que tu n’es pas par idéologie
Mais soit ce que tu dois être parce que c’est ta vraie vie
Tu trouveras que tu n’es pas parfait ou bien chanceux
N’oublie pas que tu dois grandir pour t’améliorer peu à peu
Rien ne viendra sans acte, alors agis toujours de ton mieux
Car l’essence même de ton âme sait, n’oublie pas, elle vient des cieux
A chaque jour suffit sa peine, accroches–toi à des défis
N’abandonnes jamais, et surtout ne prend jamais de répits
L’être que tu es ici bas dois toujours rester dans l’action
Fidèle à lui–même, et toujours gardant sa propre opinion
Cesse de te plaindre que ta vie n’est pas au top de ce que tu veux
As–tu fais ce qu’il fallait , ou bien alors , n’es–tu pas un peu paresseux ?
L’on a rien sans rien, alors arrête de te persécuter!
Prends–toi en main, et arrête un peu de pleurer !
Croire c’est savoir, alors cherche toujours la vérité
Ne crois pas trop ce que dis l’autre, il peut se tromper
L’essence même de ta vie est de vivre chaque instant
Savoures la bien, car elle peut finir vite, sois en conscient
Puis cette lumière apparaîtra un jour dans ta vie
Tout prendra alors sons sens, et là tu auras compris
Que ta vie est puissante et que ça en vaut la peine
De passer ici bas, où tout n’as été qu’une mise en scène.
Puis un jour tu partiras laissant ceux que tu aimes
Pour rejoindre les autres qui t’attendent au ciel
Ton âme retournera d’où elle vient et, fera le résumé de sa vie
Pour rejoindre le plus fort et, le plus beau des Paradis !
Dieu t’aime et ne n’a jamais oublié
Sur toi il veille jusqu’à l’éternité.
Crois toujours en lui, comme lui en toi
Lui soit sur, il ne t’abandonnera pas.
Elsa Maria© 12/09/2017 Tous droits Réservés
La source
Un lion habitait près d‘une source ; un aigle
Y venait boire aussi.
Or, deux héros, un jour, deux rois – souvent Dieu règle
La destinée ainsi –
Vinrent à cette source où des palmiers attirent
Le passant hasardeux,
Et, s‘étant reconnus, ces hommes se battirent
Et tombèrent tous deux.
L‘aigle, comme ils mouraient, vint planer sur leurs têtes,
Et leur dit, rayonnant :
– Vous trouviez l‘univers trop petit, et vous n‘êtes
Qu‘une ombre maintenant !
Ô princes ! et vos os, hier pleins de jeunesse,
Ne seront plus demain
Que des cailloux mêlés, sans qu‘on les reconnaisse,
Aux pierres du chemin !
Insensés ! à quoi bon cette guerre âpre et rude,
Le duel, ce talion ?...
Je vis en paix, moi l‘aigle, en cette solitude,
Avec lui, le lion.
Nous venons tous deux boire à la même fontaine,
Rois dans les mêmes lieux ;
Je lui laisse le bois, la montagne et la plaine,
Et je garde les cieux.
Victor Hugo
ALLAN KARDEC & VICTOR HUGO
Au début du siècle dernier, deux hommes naissaient qui allaient renouveler le courant de pensée de leur époque, et la marquer.
L‘un de son génie : VICTOR HUGO (1802), et, ALLAN KARDEC (1804) qui lança à travers le monde l‘idée de l‘Immortalité Spirituelle.
ALLAN KARDEC faisait sienne l‘idée de l‘évolution des espèces, et on pouvait lire son ouvrage LA GENÈSE SUIVANT LE SPIRITISME :
Quoiqu‘il en puisse coûter à son orgueil, l‘homme doit se résigner à ne voir dans son corps matériel que le dernier anneau de l‘animalité sur la terre.L‘inexorable argument des faits est là, contre lesquels il protesterait, en vain.
VICTOR HUGO, lui prenait partie pour le Livre des esprits Publié par KARDEC, et le grand poète devenait le véritable prophète du Spiritisme moderne.
C‘est dans cette double idée de l‘évolution et de la survivance qui constitue l‘essence même du « SPIRITUALISME« , qui ne tarda pas à se nommer en France « SPIRITISME« .
C‘est dans cette double idée de l‘évolution et de la survivance qui constitue l‘essence même du « SPIRITUALISME« , qui ne tarda pas à se nommer en France « SPIRITISME« .
C‘est là l‘histoire de l‘âme s‘individualisant, évoluant ou développant sa conscience à travers les formes multiples de la nature vivante, puis s‘incarnant successivement dans des milieux humains divers pour enrichir son expérience.
ALLAN KARDEC fût le premier à affirmer que l‘Au–delà n‘est pas un lieu.
Il exprime simplement la limitation de nos perceptions ordinaires.
Il tenta d’élargir la zone de ces perceptions.
Il tenta d’élargir la zone de ces perceptions.
Sa mission fût d‘obtenir par des faits précis et des expériences rigoureuses, des communications entre les êtres désincarnés et les vivants.
Les preuves ne manquent pas, qui sont obtenues par des savants assistés d’appareils rendant impossible toute fraude.
A la faveur de ces expériences, l‘Univers nous apparait de plus en plus comme un grand tout, vivant et conscient, où ce que nous appelons « MORT« , n‘abolit rien.
Nous savons que les mondes, les soleils, les planètes et les organismes naissent, grandissent et meurent.
Mais les formes sont changeantes, l‘esprit subsiste à travers les métamorphoses, à travers la vie et la mort.
Notre existence ne se passe plus entre le berceau et la tombe, nous faisons partie de l’Éternité de l‘Univers.
La mort est ce qui nous délivre du monde physique et nous permet de vivre avec des principes plus subtils qui se séparant du corps matériel, nous facilitent la remontée vers l‘origine, vers l’Énergie, vers ce que nous nommons DIEU !
Délivres-toi de toute espérance et délivres-toi de toute crainte, car depuis toujours et pour toujours ineffablement : TU ES !
Bon Week–end à Tous !
Elsa Maria
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